Une vie au zoo, tome 1

manga de Saku YAMAURA

série complète en 4 vol.
série complète en 4 vol.
Nobi nobi !, 2017, 172 p. ISBN 978-2-37349-123-4
Nobi nobi !, 2017, 172 p. ISBN 978-2-37349-123-4

Les zoos font rêver petits et grands... mais il faut plus que des rêves pour nourrir les animaux ! Le zoo Hidamari a bien du mal à combiner les frais de gestion de l'établissement avec le bien-être des animaux. Haruko, jeune soigneuse, va s'en rendre compte rapidement.

 

Malgré un enthousiasme débordant, son étourderie lui attire les foudres du directeur du parc, qui la met à l'épreuve en lui confiant le soin d'animaux récalcitrants... C'est sans compter sur le curieux talent de la jeune fille pour déchiffrer les émotions secrètes des bêtes à partir de leur odeur !

 

(texte : 4e de couverture)

L'avis d'Anaïs, 12 ans :

Mon avis :

Dans ce zoo, le contraste est saisissant entre les soigneurs très proches des animaux, et le directeur pour qui le parc est "avant tout une entreprise". Il est d'ailleurs bien mystérieux ce Yôsuke, fils du propriétaire qui a récupéré malgré lui la charge de son père. Que s'est-il passé pour qu'il soit si indifférent aux animaux de son enfance et qu'il considère le zoo comme un "business" ?

 

Face à lui, Haruko semble bien timorée. Pleine de bonnes intentions, la jeune fille se révèle particulièrement maladroite. Cependant elle compense son inexpérience par une sensibilité que les autres n'ont pas. Si elle a du mal à trouver sa place dans l'équipe, elle va peu à peu se distinguer par des initiatives étonnantes mais pertinentes grâce à son talent particulier : "L'idée que je me suis faite des gens et des animaux est uniquement basée sur leur odeur". Lion stressé, éléphante solitaire, girafe refusant d'allaiter son petit : Haruko trouve une solution à tout, prouvant que le bien-être des animaux est indispensable au succès du zoo.

Si l'histoire est quelque peu répétitive dans ses propos et sa structure, elle plaira sans nul doute aux petits amoureux des bêtes sauvages !

 

Patricia Deschamps, février 2018


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